L'Assemblée nationale du Sénégal a rejeté le 5 janvier 2022 une proposition de loi criminalisant l'homosexualité.
« Le Bureau de l’Assemblée Nationale du Sénégal a rejeté le 05 janvier 2022 la proposition de loi modifiant l’article 319 alinéa 3 du Code pénal criminalisant l’homosexualité à l’initiative courageuse et salutaire de la plateforme And Samm Jikko yi (ASJ) et portée par plusieurs députés. Cette décision de blocage consistant à étouffer la volonté populaire de renforcer l’arsenal juridique contre l’homosexualité est pour le moins stupéfiante et condamnable.
Depuis plusieurs années, notre pays fait l’objet de plusieurs actions internationales coordonnées pour légaliser cette pratique obscène aux antipodes de nos valeurs religieuses et sociales. Pour faire face à ce rouleau compresseur de l’agenda de promotion LGBT, il est indispensable, notamment, de revoir notre législation dans le sens d’un durcissement de la répression des pratiques homosexuelles.
L’Assemblée Nationale censée représenter le Peuple doit être à l’avant-garde de ce combat pour la dignité. Elle aurait dû laisser le débat se poursuivre jusqu’en plénière pour le vote de cette proposition de loi en dehors de tout esprit partisan.
Au demeurant, il reste entendu que la mobilisation et le combat contre ces antivaleurs doivent se poursuivre pour la préservation de notre modèle sociétal et particulièrement de notre jeunesse, avenir du pays.
A cet effet, l’Amicale des Cadres Musulmans du Sénégal (ACMS) invite l’Etat ainsi que toutes les composantes de la société à ne pas faiblir dans la défense de nos principes et valeurs et à poursuivre les actions d’information, de sensibilisation et d’éducation.
Pour rappel, l’ACMS est une structure de la société civile regroupant des membres imbus des valeurs citoyennes et qui œuvrent pour un Sénégal plus épanoui, notamment dans les domaines spirituel et matériel. »
Le Bureau de l’ACMS
Dakar, le 11 janvier 2022
Depuis plusieurs années, notre pays fait l’objet de plusieurs actions internationales coordonnées pour légaliser cette pratique obscène aux antipodes de nos valeurs religieuses et sociales. Pour faire face à ce rouleau compresseur de l’agenda de promotion LGBT, il est indispensable, notamment, de revoir notre législation dans le sens d’un durcissement de la répression des pratiques homosexuelles.
L’Assemblée Nationale censée représenter le Peuple doit être à l’avant-garde de ce combat pour la dignité. Elle aurait dû laisser le débat se poursuivre jusqu’en plénière pour le vote de cette proposition de loi en dehors de tout esprit partisan.
Au demeurant, il reste entendu que la mobilisation et le combat contre ces antivaleurs doivent se poursuivre pour la préservation de notre modèle sociétal et particulièrement de notre jeunesse, avenir du pays.
A cet effet, l’Amicale des Cadres Musulmans du Sénégal (ACMS) invite l’Etat ainsi que toutes les composantes de la société à ne pas faiblir dans la défense de nos principes et valeurs et à poursuivre les actions d’information, de sensibilisation et d’éducation.
Pour rappel, l’ACMS est une structure de la société civile regroupant des membres imbus des valeurs citoyennes et qui œuvrent pour un Sénégal plus épanoui, notamment dans les domaines spirituel et matériel. »
Le Bureau de l’ACMS
Dakar, le 11 janvier 2022
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