« Je ne suis ni surpris encore moins choqué par les informations qui ont été publiées par un torchon (*). Bien au contraire, suis plutôt amusé de constater tout au début, je suis victime d’un gros mensonge d’Etat.
Aujourd’hui, ils sont contraints d’inventer une histoire pour ne pas être ridicules. Je n’ai jamais été arrêté à cause du rapport d’enquête interne de la Gendarmerie lors de mon audition, aucune question ne m’a été posée sur ce rapport d’enquête de la gendarmerie.
En réalité, leur chasse aux sorcières commence à saper le moral des troupes accusées injustement.
Parlant de ces gendarmes que je connais ni d’Adam ni d’Eve, si tant est qu’ils ont véritablement disparu, je prie pour qu’ils soient retrouvés sains et saufs. (Mais) espérons que la ligne rouge n’est pas encore franchie et que leur famille ne reçoive pas des corps sans vie.
La chose positive dans cette histoire est la reconnaissance de l’existence d’un rapport interne de la Gendarmerie qui met à nu un complot d’Etat qui a fait quatorze (14) morts, zéro coupable. »
(*) Dans son édition de ce jour, le journal « Le Quotidien » écrit : « Même s’ils ont été considérés comme des portés disparus, ils (le gendarme et l’agent des Renseignements) ont été perdus de vue après l’arrestation d’un gendarme dans le cadre de l’enquête liée à l’arrestation du journaliste Pape Alé Niang… »
Aujourd’hui, ils sont contraints d’inventer une histoire pour ne pas être ridicules. Je n’ai jamais été arrêté à cause du rapport d’enquête interne de la Gendarmerie lors de mon audition, aucune question ne m’a été posée sur ce rapport d’enquête de la gendarmerie.
En réalité, leur chasse aux sorcières commence à saper le moral des troupes accusées injustement.
Parlant de ces gendarmes que je connais ni d’Adam ni d’Eve, si tant est qu’ils ont véritablement disparu, je prie pour qu’ils soient retrouvés sains et saufs. (Mais) espérons que la ligne rouge n’est pas encore franchie et que leur famille ne reçoive pas des corps sans vie.
La chose positive dans cette histoire est la reconnaissance de l’existence d’un rapport interne de la Gendarmerie qui met à nu un complot d’Etat qui a fait quatorze (14) morts, zéro coupable. »
(*) Dans son édition de ce jour, le journal « Le Quotidien » écrit : « Même s’ils ont été considérés comme des portés disparus, ils (le gendarme et l’agent des Renseignements) ont été perdus de vue après l’arrestation d’un gendarme dans le cadre de l’enquête liée à l’arrestation du journaliste Pape Alé Niang… »
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