« Le vendredi 23 décembre 2016, le Conseil de sécurité des Nations unies a adopté la résolution 2334, dénonçant la colonisation israélienne dans les territoires palestiniens occupés.
En faisant partie des quatre pays ayant porté le projet de résolution (avec la Nouvelle Zélande, la Malaisie et le Venezuela), notre pays, le Sénégal, a, par cette initiative, adopté une posture courageuse qui participe à la défense des droits inaliénables d’un peuple frère injustement opprimé.
L’Amicale des Cadres musulmans du Sénégal (ACMS), tient à féliciter le gouvernement du Sénégal pour cette position qui honore tout un peuple.
Sur un registre plus local, l’ACMS constatant, avec tristesse la multiplication de heurts entre différentes sensibilités de la communauté musulmane au Sénégal, en appelle à plus de hauteur et d’ouverture dans la gestion des divergences.
Face aux défis politiques, économiques et sociaux qui interpellent toute conscience musulmane, la priorité semble être de se retrouver autour de ces questions aux enjeux indéniables.
Les divergences opposant différents groupes de musulmans pourraient être abordées dans des débats scientifiques et sereins loin de toute stigmatisation, violence ou fanatisme. »
En faisant partie des quatre pays ayant porté le projet de résolution (avec la Nouvelle Zélande, la Malaisie et le Venezuela), notre pays, le Sénégal, a, par cette initiative, adopté une posture courageuse qui participe à la défense des droits inaliénables d’un peuple frère injustement opprimé.
L’Amicale des Cadres musulmans du Sénégal (ACMS), tient à féliciter le gouvernement du Sénégal pour cette position qui honore tout un peuple.
Sur un registre plus local, l’ACMS constatant, avec tristesse la multiplication de heurts entre différentes sensibilités de la communauté musulmane au Sénégal, en appelle à plus de hauteur et d’ouverture dans la gestion des divergences.
Face aux défis politiques, économiques et sociaux qui interpellent toute conscience musulmane, la priorité semble être de se retrouver autour de ces questions aux enjeux indéniables.
Les divergences opposant différents groupes de musulmans pourraient être abordées dans des débats scientifiques et sereins loin de toute stigmatisation, violence ou fanatisme. »
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