Le président des Républicains répète sa volonté de maintenir son groupe "totalement indépendant" en vue des législatives.
"La double appartenance n'existe pas". Au lendemain du grand conseil entre Républicains, pendant lequel les parlementaires LR ont exposé leurs points de vue dans la perspective des élections législatives de juin prochain, le président du parti Christian Jacob a répété le message d'indépendance de son parti, qu'il ne veut pas diluer dans des alliances vers le centre où à sa droite.
"Il y aura un débat au lendemain des élections législatives. "Mais la ligne est claire et nous rassemble", clame t-il, faisant valoir la "diversité" de son parti. "Il n'y a pas de double appartenance. On ne peut pas être LR et majorité présidentielle, Reconquête, Horizons. On est LR, un groupe indépendant. La double appartenance n'existe pas", a-t-il fait valoir, mardi 26 avril, face aux caméras.
"L'engagement qui sera signé par tous nos candidats sera de siéger dans un groupe totalement indépendant, en aucun cas dans la majorité présidentielle, et encore moins avec les extrêmes", a encore déclaré le patron des Républicains.
La veille, ce dernier avait indiqué que 87% des députés ayant pris part au conseil LR avaient voté en faveur d'un projet "de droite indépendante (...) ni fongible dans le macronisme ni dans le lepénisme".
Le soir de la réélection d'Emmanuel Macron, Christian Jacob, avait regretté que "jamais il n'y a eu un tel vote de désespérance en France" lors du second tour de l'élection présidentielle . "En additionnant les voix qui se sont portées aux extrêmes, c'est un cri d'alerte, un vote de désespérance", qui est, selon le député, "le résultat de l'action de la majorité parlementaire d'Emmanuel Macron". "Jamais le résultat des extrêmes n'a été à ce niveau", avait-il appuyé.
"Emmanuel Macron voulait ce face-à-face avec Marine le Pen, car c'était l'assurance de gagner" pour lui, a également assuré le président LR, dont la candidate Valérie Pécresse n'a pas atteint les 5% des voix lors du premier tour. Christian Jacob s'était alors inscrit dans l'opposition en vue des élections législatives. "On veut rebondir avec les élus ancrés sur le terrain", a-t-il assuré, estimant qu'au contraire les députés de la majorité En Marche "n'ont pas d'ancrage".
"La double appartenance n'existe pas". Au lendemain du grand conseil entre Républicains, pendant lequel les parlementaires LR ont exposé leurs points de vue dans la perspective des élections législatives de juin prochain, le président du parti Christian Jacob a répété le message d'indépendance de son parti, qu'il ne veut pas diluer dans des alliances vers le centre où à sa droite.
"Il y aura un débat au lendemain des élections législatives. "Mais la ligne est claire et nous rassemble", clame t-il, faisant valoir la "diversité" de son parti. "Il n'y a pas de double appartenance. On ne peut pas être LR et majorité présidentielle, Reconquête, Horizons. On est LR, un groupe indépendant. La double appartenance n'existe pas", a-t-il fait valoir, mardi 26 avril, face aux caméras.
"L'engagement qui sera signé par tous nos candidats sera de siéger dans un groupe totalement indépendant, en aucun cas dans la majorité présidentielle, et encore moins avec les extrêmes", a encore déclaré le patron des Républicains.
La veille, ce dernier avait indiqué que 87% des députés ayant pris part au conseil LR avaient voté en faveur d'un projet "de droite indépendante (...) ni fongible dans le macronisme ni dans le lepénisme".
Le soir de la réélection d'Emmanuel Macron, Christian Jacob, avait regretté que "jamais il n'y a eu un tel vote de désespérance en France" lors du second tour de l'élection présidentielle . "En additionnant les voix qui se sont portées aux extrêmes, c'est un cri d'alerte, un vote de désespérance", qui est, selon le député, "le résultat de l'action de la majorité parlementaire d'Emmanuel Macron". "Jamais le résultat des extrêmes n'a été à ce niveau", avait-il appuyé.
"Emmanuel Macron voulait ce face-à-face avec Marine le Pen, car c'était l'assurance de gagner" pour lui, a également assuré le président LR, dont la candidate Valérie Pécresse n'a pas atteint les 5% des voix lors du premier tour. Christian Jacob s'était alors inscrit dans l'opposition en vue des élections législatives. "On veut rebondir avec les élus ancrés sur le terrain", a-t-il assuré, estimant qu'au contraire les députés de la majorité En Marche "n'ont pas d'ancrage".
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