Le chef de file de La France insoumise estime que les élections législatives constitueront un "troisième tour" de l'élection.
"Ne vous résignez pas, entrez dans l'action" a appelé Jean-Luc Mélenchon, dimanche 24 avril, quelques minutes après l'annonce de la victoire d'Emmanuel Macron au deuxième tour de l'élection présidentielle.
Motif de son espoir, l'abstention, qui décrédibilise le président réélu. "À peine plus du tiers des électeurs inscrits" ont voté pour Emmanuel Macron.
"Monsieur Macron est le plus mal élu des présidents de la Ve République". "Macron surnage dans un océan d'abstention, bulletins blancs et nuls."
Arrivé troisième au premier tour de l'élection, Jean-Luc Mélenchon a tendu la main aux "victimes" du programme social du président. "Ma pensée se tourne vers les futures victimes : les bénéficiaires du RSA qui devront travailler gratuitement. Les personnes usées qui devront travailler trois ans de plus", référence à la réforme controversée des retraites.
Face au risque de voir "le pays vendu à la découpe", le candidat LFI veut se projeter sur les législatives pour priver Emmanuel Macron d'une majorité. "La démocratie peut nous donner de nouveau le moyen de changer d'Etat. le troisième tour commence ce soir. (...) Vous pouvez battre Monsieur Macron et choisir un autre chemin, si vous élisez une majorité de la nouvelle union populaire. Le bloc populaire est le Tiers-Etat qui peut tout changer s'il se rassemble." (AFP)
"Ne vous résignez pas, entrez dans l'action" a appelé Jean-Luc Mélenchon, dimanche 24 avril, quelques minutes après l'annonce de la victoire d'Emmanuel Macron au deuxième tour de l'élection présidentielle.
Motif de son espoir, l'abstention, qui décrédibilise le président réélu. "À peine plus du tiers des électeurs inscrits" ont voté pour Emmanuel Macron.
"Monsieur Macron est le plus mal élu des présidents de la Ve République". "Macron surnage dans un océan d'abstention, bulletins blancs et nuls."
Arrivé troisième au premier tour de l'élection, Jean-Luc Mélenchon a tendu la main aux "victimes" du programme social du président. "Ma pensée se tourne vers les futures victimes : les bénéficiaires du RSA qui devront travailler gratuitement. Les personnes usées qui devront travailler trois ans de plus", référence à la réforme controversée des retraites.
Face au risque de voir "le pays vendu à la découpe", le candidat LFI veut se projeter sur les législatives pour priver Emmanuel Macron d'une majorité. "La démocratie peut nous donner de nouveau le moyen de changer d'Etat. le troisième tour commence ce soir. (...) Vous pouvez battre Monsieur Macron et choisir un autre chemin, si vous élisez une majorité de la nouvelle union populaire. Le bloc populaire est le Tiers-Etat qui peut tout changer s'il se rassemble." (AFP)
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