Le décompte officiel des morts, déjà effroyable avec près de 10.000 personnes décédées entre Turquie et Syrie, pourrait être bien plus élevé, encore du nombre de bâtiments ayant cédé, et de recherches rendues plus urgentes par le froid qui règne dans la région.
Dans un froid glacial, les sauveteurs mènent une course contre la montre pour tenter de porter secours aux rescapés du tremblement de terre d'une magnitude de 7,8, survenu lundi à l'aube et qui a secoué le Sud-Est de la Turquie et le Nord de la Syrie voisine. Le mauvais temps complique la tâche des secours et le ministre turc de l'Intérieur a averti mardi que les prochaines 48 heures seraient "cruciales" pour retrouver des survivants.
"Le nombre de morts risque d'augmenter.
Nous avons identifié près de 6.000 immeubles effondrés", s'est inquiété Ali Onaner, à l'antenne de franceinfo, mercredi 8 février. L'ambassadeur de Turquie en France évoque l'action "d'équipes de recherche turques très expérimentées", mais en nombre insuffisant. Le diplomate a dit sa reconnaissance aux nations étrangères dont la France, pour ses "73 militaires expérimentés, et 65 sapeurs-pompiers" dépêchés sur place.
Ces quelque 6.000 immeubles effondrés font craindre une explosion d'un bilan humain déjà effroyable, avec près de 10.000 morts entre Turquie et Syrie, selon les bilans officiels communiqués mercredi 8 février.
"C'est l'inquiétude. Notre plus grande priorité actuellement, c'est de pouvoir sauver le plus gtrand nombre de personnes dans les heures et jours qui suivent", a déclaré Ali Onaner, rappelant les conditions météorologiques rigoureuses qui compliquent la survie des personnes bloquées dans les décombres.
"Il fait très froid. Ce n'est pas comme le séisme de 1999 où cinq, six jours après le séisme, on pouvait espérer des miracles. Aujourd'hui, on doit aller encore plus vite pour ne pas que les rescapés sous les débris souffrent du froid", a t-il précisé.
En Turquie, 6.957 corps ont été retirés des décombres selon l'Afad, organisme de secours turc, et 2.547 morts ont été dénombrés en Syrie, selon les autorités et les médecins.
Dans un froid glacial, les sauveteurs mènent une course contre la montre pour tenter de porter secours aux rescapés du tremblement de terre d'une magnitude de 7,8, survenu lundi à l'aube et qui a secoué le Sud-Est de la Turquie et le Nord de la Syrie voisine. Le mauvais temps complique la tâche des secours et le ministre turc de l'Intérieur a averti mardi que les prochaines 48 heures seraient "cruciales" pour retrouver des survivants.
"Le nombre de morts risque d'augmenter.
Nous avons identifié près de 6.000 immeubles effondrés", s'est inquiété Ali Onaner, à l'antenne de franceinfo, mercredi 8 février. L'ambassadeur de Turquie en France évoque l'action "d'équipes de recherche turques très expérimentées", mais en nombre insuffisant. Le diplomate a dit sa reconnaissance aux nations étrangères dont la France, pour ses "73 militaires expérimentés, et 65 sapeurs-pompiers" dépêchés sur place.
Ces quelque 6.000 immeubles effondrés font craindre une explosion d'un bilan humain déjà effroyable, avec près de 10.000 morts entre Turquie et Syrie, selon les bilans officiels communiqués mercredi 8 février.
"C'est l'inquiétude. Notre plus grande priorité actuellement, c'est de pouvoir sauver le plus gtrand nombre de personnes dans les heures et jours qui suivent", a déclaré Ali Onaner, rappelant les conditions météorologiques rigoureuses qui compliquent la survie des personnes bloquées dans les décombres.
"Il fait très froid. Ce n'est pas comme le séisme de 1999 où cinq, six jours après le séisme, on pouvait espérer des miracles. Aujourd'hui, on doit aller encore plus vite pour ne pas que les rescapés sous les débris souffrent du froid", a t-il précisé.
En Turquie, 6.957 corps ont été retirés des décombres selon l'Afad, organisme de secours turc, et 2.547 morts ont été dénombrés en Syrie, selon les autorités et les médecins.