Jean-Luc Mélenchon a déclaré dimanche qu’il prendrait sa décision en octobre prochain sur son éventuelle candidature à l’élection présidentielle de 2022.
“Je prendrai ma décision au mois d’octobre”, a déclaré le président du groupe La France Insoumise à l’Assemblée nationale, à l’issue d’un discours fleuve clôturant les “Amphis d’été” de LFI à Châteauneuf-sur-Isère, dans la Drôme.
Le mouvement de Jean-Luc Mélenchon - déjà candidat à deux reprises à la présidentielle, en 2012 et 2017 - a essuyé des revers aux dernières élections européennes et municipales, qui permettent à Europe Ecologie les Verts (EELV) de lui disputer le leadership à gauche.
Avant de prendre sa décision, le chef de file de LFI a indiqué qu’il consulterait “ses amis”, et tout particulièrement les autres responsables de LFI.
“J’ai besoin, pour savoir ce que je dois faire, d’avoir la certitude que les premiers qui me porteraient le cas échéant seraient mes camarades, et que si une autre option se présente pour assurer la continuité de (nos) idées, alors qu’on puisse en parler”, a-t-il souligné.
“Je n’ai peur de rien. Je ne me lève pas tous les matins en aspirant à je ne sais quel futur glorieux.”
Estimant que le système capitaliste “a failli”, Jean-Luc Mélenchon a déroulé dimanche un programme axé notamment sur un retour à la planification, à d’éventuelles nationalisations afin d’assurer la maîtrise des ressources en eau et en électricité et à la diminution de temps de travail.
Il a également prôné l’annulation de la dette publique des Etats européens par la Banque centrale européenne, sans toutefois préciser comment il comptait y parvenir. (Reuters)
“Je prendrai ma décision au mois d’octobre”, a déclaré le président du groupe La France Insoumise à l’Assemblée nationale, à l’issue d’un discours fleuve clôturant les “Amphis d’été” de LFI à Châteauneuf-sur-Isère, dans la Drôme.
Le mouvement de Jean-Luc Mélenchon - déjà candidat à deux reprises à la présidentielle, en 2012 et 2017 - a essuyé des revers aux dernières élections européennes et municipales, qui permettent à Europe Ecologie les Verts (EELV) de lui disputer le leadership à gauche.
Avant de prendre sa décision, le chef de file de LFI a indiqué qu’il consulterait “ses amis”, et tout particulièrement les autres responsables de LFI.
“J’ai besoin, pour savoir ce que je dois faire, d’avoir la certitude que les premiers qui me porteraient le cas échéant seraient mes camarades, et que si une autre option se présente pour assurer la continuité de (nos) idées, alors qu’on puisse en parler”, a-t-il souligné.
“Je n’ai peur de rien. Je ne me lève pas tous les matins en aspirant à je ne sais quel futur glorieux.”
Estimant que le système capitaliste “a failli”, Jean-Luc Mélenchon a déroulé dimanche un programme axé notamment sur un retour à la planification, à d’éventuelles nationalisations afin d’assurer la maîtrise des ressources en eau et en électricité et à la diminution de temps de travail.
Il a également prôné l’annulation de la dette publique des Etats européens par la Banque centrale européenne, sans toutefois préciser comment il comptait y parvenir. (Reuters)