Khalifa Sall (d) et Karim Wade
« Abordant la consolidation du dialogue national et l’ouverture politique, le Président de la République demande au Garde des Sceaux, Ministre de la Justice d’examiner, dans les meilleurs délais, les possibilités et le schéma adéquat d’amnistie pour des personnes ayant perdu leurs droits de vote. »
C’est l’un des points qui retiendra l’attention à la lecture du communiqué publié à l’issue du premier conseil des ministres post élections législatives : l’éventualité d’une amnistie pour deux opposants de renom au président de la République, Karim Wade du Parti démocratique sénégalais (PDS) et Khalifa Ababacar Sall de Taxawu Sénégal.
Cette mesure a été souvent agitée dans certains milieux politiques pour devoir profiter principalement aux deux bannis déchus de leurs droits civiques non par la justice par l’autorité administrative. Mais elle n’a jamais été mise en œuvre de manière officielle. C’est donc au Pr Ismaïla Madior Fall, redevenu ministre de la Justice garde des Sceaux, qu’a été confiée la tâche d’en étudier les contours avant sa matérialisation.
Si la mesure devenait effective, elle ouvrirait davantage les joutes politiques et donnerait une sacrée dimension à l'élection présidentielle de février 2024.
C’est l’un des points qui retiendra l’attention à la lecture du communiqué publié à l’issue du premier conseil des ministres post élections législatives : l’éventualité d’une amnistie pour deux opposants de renom au président de la République, Karim Wade du Parti démocratique sénégalais (PDS) et Khalifa Ababacar Sall de Taxawu Sénégal.
Cette mesure a été souvent agitée dans certains milieux politiques pour devoir profiter principalement aux deux bannis déchus de leurs droits civiques non par la justice par l’autorité administrative. Mais elle n’a jamais été mise en œuvre de manière officielle. C’est donc au Pr Ismaïla Madior Fall, redevenu ministre de la Justice garde des Sceaux, qu’a été confiée la tâche d’en étudier les contours avant sa matérialisation.
Si la mesure devenait effective, elle ouvrirait davantage les joutes politiques et donnerait une sacrée dimension à l'élection présidentielle de février 2024.