Le ministre du Travail Olivier Dussopt
L’enquête visant Olivier Dussopt pour soupçons de favoritisme a suscité de nouvelles controverses au sein de l’opposition et de certains syndicats.
Ce samedi 4 février, Olivier Dussopt est au coeur de l'actualité, au lendemain de la révélation d’une enquête du parquet national financier pour “favoritisme”.
Alors qu’il est l’un des visages de la très controversée réforme des retraites, le ministre du Travail fait l’objet de plusieurs critiques, en réaction aux soupçons de favoritisme. En effet, opposition et syndicats s’indignent contre un gouvernement qui enchaînerait les soupçons de corruption.
Sur le plateau de BFMTV, Bertrand Dumont de Solidaires RATP a estimé qu’Olivier Dussopt n’avait plus sa place au sein du gouvernement.
Un avis partagé par Philippe Brun, député PS de l’Eure : "Quand on est accusé de favoritisme, on doit se mettre en retrait de ses fonctions publiques", a-t-il affirmé sur la même chaîne.
“Ne le condamnez pas tout de suite”, somme une députée Renaissance
Tout comme Solidaires RATP, Europe Ecologie Les Verts pointe aussi du doigt le gouvernement : “Même si on commence à avoir l’habitude avec ce gouvernement, on se dit quand même que c’est devenu une cour d’assises”, s’est indignée Sabrina Sebaihi, députée EELV des Hauts-de-Seine, sur BFMTV.
“S’il était mis en examen, je ne vois pas comment il pourrait continuer à défendre un texte”, a soutenu l’écologiste sur le plateau, face à la députée Renaissance des Yvelines Nadia Hai. Cette dernière a riposté en rappelant qu’Olivier Dussopt n'avait pas été mis en examen pour l’instant. “Ne le condamnez pas tout de suite”, s’est-elle exclamée.
La députée de la majorité a pointé du doigt la réaction de son homologue EELV, l’accusant de "jeter l'opprobre" sur le gouvernement. “On a pris l’habitude aujourd’hui de mélanger tous les pouvoirs : l'exécutif, le législatif et le judiciaire. Vous vous substituez à la justice”, a-t-elle déploré, assurant qu'elle avait confiance en Olivier Dussopt.
Ce samedi 4 février, Olivier Dussopt est au coeur de l'actualité, au lendemain de la révélation d’une enquête du parquet national financier pour “favoritisme”.
Alors qu’il est l’un des visages de la très controversée réforme des retraites, le ministre du Travail fait l’objet de plusieurs critiques, en réaction aux soupçons de favoritisme. En effet, opposition et syndicats s’indignent contre un gouvernement qui enchaînerait les soupçons de corruption.
Sur le plateau de BFMTV, Bertrand Dumont de Solidaires RATP a estimé qu’Olivier Dussopt n’avait plus sa place au sein du gouvernement.
Un avis partagé par Philippe Brun, député PS de l’Eure : "Quand on est accusé de favoritisme, on doit se mettre en retrait de ses fonctions publiques", a-t-il affirmé sur la même chaîne.
“Ne le condamnez pas tout de suite”, somme une députée Renaissance
Tout comme Solidaires RATP, Europe Ecologie Les Verts pointe aussi du doigt le gouvernement : “Même si on commence à avoir l’habitude avec ce gouvernement, on se dit quand même que c’est devenu une cour d’assises”, s’est indignée Sabrina Sebaihi, députée EELV des Hauts-de-Seine, sur BFMTV.
“S’il était mis en examen, je ne vois pas comment il pourrait continuer à défendre un texte”, a soutenu l’écologiste sur le plateau, face à la députée Renaissance des Yvelines Nadia Hai. Cette dernière a riposté en rappelant qu’Olivier Dussopt n'avait pas été mis en examen pour l’instant. “Ne le condamnez pas tout de suite”, s’est-elle exclamée.
La députée de la majorité a pointé du doigt la réaction de son homologue EELV, l’accusant de "jeter l'opprobre" sur le gouvernement. “On a pris l’habitude aujourd’hui de mélanger tous les pouvoirs : l'exécutif, le législatif et le judiciaire. Vous vous substituez à la justice”, a-t-elle déploré, assurant qu'elle avait confiance en Olivier Dussopt.